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Talisman artefact Khépri en laiton gravé du scarabée égyptien, du hiéroglyphe khéper et d’une croix d’Ankh.

Le scarabée sculpté en faïence égyptienne est sublimé par un grenat rhodolite de 4mm facetée rosecut [0,42cts] et d’une gemme de labradorite en forme de poire [25x14mm].

Le pendentif fait 75mm de large pour 70mm de long, pour un poids d’environ 20g.

La chaîne en laiton couleur bronze est réglable sur la longueur par fermoir mousqueton.

 

Cette création unique est accompagnée de son écrin aquarellé par mes soins.

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Khépri, « Le soleil en devenir », est une entité de la mythologie égyptienne associée au soleil et symbole de renaissance. Divinité chthonienne et primordiale son culte est très ancien, Khépri remonte au moins à la 5ème dynastie (2494-2345 av J-C), des objets ressemblant à des scarabées furent aussi découvert datant de la période néolithique (7000-5000 av J-C). Le scarabée stercoraire sort d’une boule d’excrément (protégeant l’oeuf et la larve), qu’il pousse ensuite. L’’insecte évoque le dieu qui s’est lui même crée, mais aussi le dieu qui pousse le soleil devant lui, d’où la vénération du scarabée. L’Egypte antique avaient ainsi nommé le scarabée « kheprer » prenant source dans les idées de génération spontanée et de renouvellement « venir à l’existence », « être » et « devenir » ( kheper)

Khépri fut particulièrement vénéré à Héliopolis, centre du culte solaire.

A l’Epoque Archaïque, Il était considéré comme une manifestation d’Atoum, représenté par un scarabée à tête de bélier. Durant l’Ancien Empire, Il apparaît comme le dieu solaire tout au long de sa course. Son rôle évoluera pour devenir uniquement le soleil naissant car les croyances se modifièrent avec le temps sous l’impulsion des divers clergés. Khépri perdit de son individualité pour n’être plus qu’un des aspects du dieu solaire Ra (Amon par la suite). Ainsi Khépri, le soleil renaissant au matin, Râ à son zénith et Atoum le soleil couchant formeront la triade d’Héliopolis.

Khépri est doté d'ailes de faucon, comme dans la plupart des traditions le vol est en rapport avec le ciel, donc avec le séjour des dieux.

Aucun attribut particulier ne lui est dévolu en dehors des traditionnels sceptre ouas et croix de vie ânkh.

La synergie

La rhodolite s’apparente au grenat rouge, mais sa couleur est toutefois un peu plus claire, ce qui lui vaut la dénomination de « Grenat de Rhodolite ».

Une tradition répandue affirmait que la rhodolite était un talisman puissant qui avait la particularité de s’illuminer dans l’obscurité et pouvait protéger celui qui la portait contre toutes sortes d’esprits maléfiques.

Elle stimule la capacité intuitive, l’imagination ainsi que la créativité. On l’associe en outre à une certaine nostalgie et à la volonté de retrouver un passé paisible et empreint de sérénité, bien loin des rythmes effrénés du monde moderne. C’est pour cela une pierre parfaite pour se ressourcer !

C’est par ailleurs une pierre propice à la concentration et aux tâches qui nécessitent méticulosité et recherche du travail bien fait. Elle encourage et permet de développer la patience. Elle transmet à celui qui la possède ses énergies internes et lui permet ainsi de se recharger.

Apaisantes, ses teintes évitent de perdre son sang-froid et, en autorisant la perception plus objective d’une situation potentiellement conflictuelle, elle aide à désamorcer celle-ci, dans la sphère familiale comme dans l’environnement professionnel.

Cette pierre peut également renforcer la confiance en soi et aider à l’ouverture vers autrui.

Sur le plan affectif, elle facilite les rencontres et l’ouverture aux sentiments de la personne rencontrée. La pierre rhodolite permet en outre de renforcer et de consolider le partage des sentiments au sein du couple.

La faïence egyptienne

 

 

 

La faïence égyptienne était très largement utilisée pour les petits objets, des perles, aux petites statues, et se retrouvait à la fois dans des contextes élitistes et populaires. C’était le matériau le plus courant pour les scarabées et d’autres formes d’amulette.

Elle était utilisé dans la plupart des formes de bijoux égyptiens anciens, car la glaçure la rendait lisse contre la peau.

La faïence égyptienne était à la fois largement exportée dans le monde antique et fabriquée localement dans de nombreux endroits. On la trouve en Mésopotamie, autour de la Méditerranée et en Europe du Nord jusqu’en Écosse.

Dans le processus d’autoglaçage d’efflorescence, une fois modelées, les pièces sont séchées à température ambiante. Lors de ce séchage, les sels alcalins migrent vers l’extérieur du corps de l’objet pour recristalliser, créant une fine surface qui brille lors de la cuisson. Cette croûte formée lors de la cuisson deviendra la faïence.

Depuis la création de la faïence dans les archives archéologiques de l’Egypte antique, les couleurs élues de glaçures varient dans une gamme de teintes bleu-vert. Emaillée dans ces couleurs, la faïence était perçue comme un substitut aux matériaux bleu-vert tels que turquoise, trouvé dans le Péninsule du Sinaï, et lapis-lazuli d’Afghanistan.

Une quête pour imiter les pierres précieuses «explique pourquoi la plupart des premiers verres sont opaques et brillamment colorés » » et que la couleur bleue la plus profonde imitant le lapis-lazuli était probablement la plus recherchée.

D’ailleurs elle était très souvent associé au turquoise et lapis-lazuli .

Le symbolisme intégré dans l’émail bleu rappelait à la fois le Nil, les eaux, le ciel et la maison des dieux, alors que le vert évoquait éventuellement des images de régénération, de renaissance et de végétation.

La faïence égyptienne est une céramique sans argile composée de quartz ou de sable concassé, avec de petites quantités de calcite chaux et un mélange d’alcalis, de silice et d’un glaçage contenant souvent des pigments de cuivre pour créer un éclat bleu-vert vif.

Un certain nombre d’agents liants possibles, parmi lesquels Gomme arabique, argile, chaux, blanc d’œuf ont été suggérés pour aider au processus de liaison.

Au Nouvel Empire, les perles, les amulettes et les bagues sont produites par une combinaison de techniques de modélisation et de moulage.

 

 

Selon les croyances des Indiens d’Amérique du Sud, les reflets bleutés de la labradorite représentent la lumière du céleste.

Cette pierre est connue pour ses vertus de protection en absorbant le négatif, mais aussi en étant un bouclier à part entière contre les énergies néfastes et les personnes malintentionnées.

Elle est associée au chakra du cœur et au chakra du plexus solaire. Le chakra du cœur représente la tendresse, la sincérité et l’amour inconditionnel. Lorsqu’il est harmonisé, il favorise la joie de vivre, la confiance en soi, la paix intérieure et la sérénité. Le chakra du plexus solaire facilite la distribution des énergies physiques, mentales et subtiles. Lorsque le chakra du plexus solaire est ouvert et équilibré, la digestion des émotions et des événements est facilitée. D’une manière générale, ce chakra favorise le discernement, l’efficacité, l’engagement, l’enthousiasme, le respect et la tolérance.

C’est une pierre calmante qui aide à lâcher prise et à s’exprimer avec calme et objectivité. Nous poussant à devenir la meilleure version de nous-même. L’action de la labradorite est reconnue comme régénératrice au niveau physique et mental suite à des périodes d’épuisement.

Pour les hypersensibles, la labradorite peut aider à mieux contrôler leurs émotions.

D’un point de vue spirituel, les praticiens, thérapeutes, médiums, et toutes les personnes qui travaillent dans un contexte d’aide envers les autres, peuvent porter une pierre labradorite pour protéger leur aura des ondes négatives.

 

 

NB: Ces informations en lithothérapie sont données à titre indicatif, par une passionnée des pierres. Elles ne sauraient en aucun cas constituer une information médicale.

Talisman Khepri en laiton, faïence égyptienne, rhodolite et labradorite

220,00 €Prix
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