« Catubodua » ; bague artefact en cuivre et Péridot facetté naturel du Pakistan
[9,84 carats-15,8x11,9x6,9mm ]monté en serti haut ✨ [Taille 54 FR voire 54,5 FR ] idéalement pour un index, pouce ou auriculaire mais ce n’est qu’en fonction de la morphologie du doigt biensur 🤗
 
Ceux qui suivent mes stories sur insta savent que cette bague était au départ un artefact d’octobre 2022 qui a bénéficié d’une nouvelle jeunesse grâce a de nouvelles compétences techniques acquises depuis->J’ai recupéré la pierre et je les refaite quoi, mais plus proche de l’intention visuelle que je ne pouvais faire à l’époque , elle est plus massive et fait une plus petite taille de Doigt, c’est Catubodua qui a choisi pour le coup 🤫
 
Cette création unique est accompagnée de son écrin aquarellé par mes soins à l’effigie de la divinité.
 
Catubodua est une déesse guerrière de la mythologie celtique gauloise, dont le nom signifie corneille (bodua) de combat (catu) en proto-celtique : Katu-bodwā. Elle semble avoir été un équivalent gaulois de la déesse irlandaise Badb qui survolait les champs de bataille sous la forme d’un corvidé, vraisemblablement une corneille mantelée.
Sous cette identification, Badb Catha prévoyait le sort des guerriers avant la bataille.
Les Celtes croyaient que la Badb / déesse de la guerre, ou plus précisément la déesse mère dans son allure guerrière, apparaissait aux guerriers tués au combat sous la forme d’un oiseau de proie, le plus souvent un corbeau ou une corneille. Sa présence n’était pas seulement un symbole de mort imminente, mais aussi d’influencer l’issue de la bataille. Le plus souvent, elle le faisait en apparaissant comme une corneille volant au-dessus de sa tête, et inspirait soit la peur ou le courage dans le cœur des guerriers , soit, dans de rares cas, se joignait à la bataille elle-même. Le prélèvement de chair avant l’inhumation est clairement attesté dans les sanctuaires celtiques.
 
L’importance du corbeau, et des oiseaux de proie en général, dans la culture et la religion celtiques est archéologiquement confirmée par leur apparition fréquente sur les artefacts et les pièces de monnaie celtiques.
 
Par exemple, sur plus de 500 broches celtiques à décor figuratif connues aujourd'hui, de la Bulgarie à l'est à l'Espagne à l'ouest, plus de la moitié représentent des oiseaux . Dans les Balkans, des oiseaux de proie apparaissent également sur des artefacts tels que le casque celtique de Ciumesti (Roumanie) , dont des exemples similaires sont représentés sur le chaudron de Gundestrup, produit par les Scordisci dans le nord-ouest de la Bulgarie. Des représentations d' oiseaux de proie se trouvent également sur les garnitures de chars celtiques de Mezek et sur les poignards sacrificiels celtiques des Balkans.
 
Similitude avec la déesse mère celtique - la Morrígan / Morrígu , triple déesse, apparaissant comme une trinité composée de Macha , Anann et Badb . Divinité complexe, elle pouvait influer l’issue des combats. Pour l’invoquer, il fallait croasser.Les guerriers celtes recevaient un rituel funéraire assez spécial qui consistait à laisser leurs cadavres sur le champ de bataille dans le but que les oiseaux charognards (en l'occurrence des corneilles ) viennent les manger. Les corneilles étaient selon les croyances celtiques des incarnations de la déesse. L'idée était que celle-ci se nourrissait de leurs corps et s'envolait dans le ciel rejoindre les dieux avec leur âme guerrière.Ses autels avaient une forme basique : un trou dans lequel on y mettait les offrandes en le recouvrant de terre. Parfois ses offrandes n'étaient autre que les corps, les têtes coupées et les crânes des ennemis tués au combat. Sinon, des offrandes plus classiques, tel que des butins de guerre, des armes, des armures, bijoux volés aux ennemis. D'autres se référaient à ses symboles tels que des plumes noires ou sinon des fourrures qui souligne aussi son amitié pour les loups et les bêtes sauvages.
 
 
En lithothérapie,
 
 
Le péridot agit mentalement sur la personne pour améliorer la confiance en soi en réduisant le stress et laisse place à un mental d’acier en effaçant toute culpabilité héritée du passé. L’énergie contenue dans ce beau joyau lui confère ainsi une importante place dans la spiritualité. On lui prête des pouvoirs mystiques pour oublier mélancolie et maux divers, mais il apporte également la bonne fortune et la félicité de son acquéreur.
Il offre clairvoyance et pureté à son porteur en touchant des points extrasensoriels comme le 3e œil. Aussi, il paraît efficace dans des troubles de crainte excessive et de chute de moral pour aider la personne à les surmonter. Il dissiperait ainsi la rancœur, la nervosité et la jalousie ainsi que les maux et la noirceur du cœur pour laisser place à la lumière verte de beauté et de pureté qu’il libère.
 
NB: Ces informations en lithothérapie sont données à titre indicatif, par une passionnée des pierres. Elles ne sauraient en aucun cas constituer une information médicale.